Le vieillissement du corps ne se manifeste pas uniquement par l’apparition de rides. Il affecte aussi les tissus conjonctifs, les articulations, les tendons et les muscles. Pour les pratiquants de musculation de plus de 40 ans, la récupération devient plus lente, les douleurs articulaires plus fréquentes et la mobilité peut commencer à se restreindre. Dans ce contexte, le collagène apparaît comme un complément nutritionnel particulièrement intéressant. Mais que vaut-il vraiment ? Quel type de collagène privilégier ? Et que penser du label Peptan, souvent mis en avant dans les formulations haut de gamme ?
Sommaire
ToggleQu’est-ce que le collagène ?
Le collagène est une protéine fibreuse essentielle à la structure du corps humain. Elle représente environ 30 % des protéines totales de l’organisme. On la retrouve principalement dans la peau, les tendons, les ligaments, les cartilages, les os et les muscles. Elle assure à la fois élasticité, solidité et résistance des tissus.
Avec l’âge, la production naturelle de collagène diminue. Dès 25 ans, ce processus commence à ralentir, mais c’est surtout après 40 ans que les effets deviennent visibles et ressentis : perte de tonicité cutanée, douleurs articulaires, réduction de la densité osseuse, récupération musculaire plus lente. En parallèle, les contraintes imposées par l’entraînement de musculation peuvent accentuer les besoins du corps en collagène.
Le rôle du collagène dans la musculation après 40 ans
Lorsque l’on pratique la musculation régulièrement, on sollicite fortement les tendons, les articulations et les ligaments. Ces structures sont composées en grande partie de collagène. Une dégradation ou une synthèse insuffisante de celui-ci peut être associée à une récupération plus lente et à une fragilité accrue des tissus.
Chez les sportifs de plus de 40 ans, le maintien de l’intégrité de ces tissus est important. Non seulement pour continuer à progresser à l’entraînement, mais aussi pour rester mobile et actif à long terme. Certaines études suggèrent que la prise de peptides de collagène pourrait :
- contribuer au maintien de la structure des tendons et des ligaments ;
- favoriser la souplesse et la résistance des articulations ;
- soutenir la réparation des tissus conjonctifs après l’effort ;
- agir en synergie avec d’autres acides aminés pour soutenir la masse musculaire.
Collagène natif ou hydrolysé : que choisir ?
Tous les suppléments de collagène ne se valent pas. On distingue généralement deux grandes catégories : le collagène natif (ou non hydrolysé) et le collagène hydrolysé (ou peptides de collagène).
Le collagène natif est moins bien absorbé par l’organisme. Son intérêt est plutôt local, au niveau des articulations, mais ses effets sont plus limités et lents à apparaître.
Le collagène hydrolysé, en revanche, a subi une transformation enzymatique qui le rend plus biodisponible. Les longues chaînes de protéines ont été fractionnées en peptides plus petits, généralement considérés comme mieux assimilables par le système digestif. Ce type de collagène est celui que l’on retrouve dans la majorité des compléments alimentaires modernes.
Le label Peptan : une référence en matière de qualité
Parmi les formes de collagène hydrolysé disponibles sur le marché, le label Peptan se démarque. Il s’agit d’une marque déposée par Rousselot, un acteur reconnu dans le domaine des ingrédients de santé. Les peptides de collagène Peptan sont obtenus à partir de collagène de type I, le plus abondant dans le corps humain.
Les points forts du label Peptan incluent :
- une traçabilité stricte et une sécurité sanitaire contrôlée ;
- une hydrolyse optimisée pour une meilleure biodisponibilité ;
- des études cliniques publiées qui soutiennent des effets potentiels sur la santé articulaire, la densité osseuse et la qualité de la peau ;
- une bonne solubilité et une neutralité de goût facilitant la prise au quotidien.
Pour un sportif de plus de 40 ans, intégrer un complément contenant du Peptan peut s’inscrire dans une stratégie globale de soutien articulaire et de récupération.

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Que dit la science sur la supplémentation en collagène ?
Ces dernières années, plusieurs études ont examiné l’impact du collagène hydrolysé sur les performances sportives, la récupération et la santé articulaire.
Une étude publiée en 2017 dans le British Journal of Nutrition a montré qu’une supplémentation quotidienne en peptides de collagène, combinée à un programme d’exercices ciblés, pouvait améliorer les douleurs articulaires chez des sujets présentant une fragilité du genou.
Une autre recherche menée en 2019 a mis en évidence une augmentation de la synthèse du collagène dans les tissus tendineux après l’ingestion de peptides de collagène avant l’exercice, en particulier lorsqu’ils sont consommés avec de la vitamine C, qui participe à la formation normale du collagène.
Chez les sportifs d’âge mûr, cela pourrait favoriser une meilleure récupération, une réduction du risque de blessures et une tolérance accrue à des charges d’entraînement élevées.
Collagène et prise de muscle : existe-t-il un lien ?
Le collagène n’est pas une protéine complète au sens classique : il contient peu d’acides aminés essentiels comme la leucine, pourtant cruciale pour la synthèse musculaire. Il ne remplace donc pas une protéine de lactosérum (whey) ou végétale pour la prise de muscle.
Cependant, en contribuant au soutien des tissus conjonctifs, il peut indirectement favoriser la progression musculaire. Un tendon plus résistant permet de soulever plus lourd sans douleur. Une articulation plus mobile autorise une amplitude de mouvement plus complète. Et un corps qui récupère mieux entre les séances devient plus apte à encaisser du volume d’entraînement.
Certains pratiquants combinent collagène et créatine pour optimiser à la fois la structure et la force. Une approche pertinente, notamment après 40 ans, où la préservation articulaire devient essentielle pour maintenir une progression constante.
Collagène bovin, marin, porcin : que privilégier ?
Le choix de la source du collagène dépend de plusieurs critères : éthique, tolérance digestive, profil d’acides aminés.
Le collagène bovin est le plus courant, riche en types I et III. Il est souvent issu de peaux ou d’os de bovins.
Le collagène marin, extrait de la peau ou des écailles de poissons, est très assimilable. Il est particulièrement utilisé dans les compléments à visée dermatologique, mais peut aussi être intéressant pour les articulations.
Le collagène porcin est plus rare et moins recherché, même s’il présente un profil proche du bovin.
Le label Peptan propose à la fois des collagènes bovins (Peptan B) et marins (Peptan F). En cas de régime alimentaire particulier (comme le pescétarisme), le collagène marin peut représenter une alternative adaptée.
Comment consommer le collagène pour en tirer le maximum de bénéfices ?
La posologie efficace tourne généralement autour de 5 à 10 g par jour, en une prise, idéalement à jeun ou 30 à 60 minutes avant l’entraînement, avec une source de vitamine C.
On peut le mélanger à de l’eau, un smoothie ou un shake protéiné. Grâce à leur bonne solubilité, les peptides de collagène comme ceux du label Peptan s’intègrent facilement. Les effets ne sont pas immédiats, mais une prise régulière pendant 8 à 12 semaines pourrait permettre d’observer une amélioration du confort articulaire, de la récupération et de la mobilité.
Faut-il prendre du collagène toute l’année ?
Il est possible de faire des cures de 2 à 3 mois, notamment lors des phases de forte charge d’entraînement ou en soutien préventif. Certains sportifs plus âgés choisissent une prise continue, surtout s’ils maintiennent un rythme intensif.
Comme souvent en nutrition, la régularité prime sur la dose. Un apport modéré mais constant de peptides de collagène semble plus efficace qu’une cure massive mais brève.
Conclusion : un complément à envisager sérieusement après 40 ans
Le collagène est souvent associé à l’esthétique, mais son rôle dans la musculation après 40 ans va bien au-delà. Il agit au niveau des tissus de soutien essentiels à la performance et à la longévité du mouvement.
Dans une stratégie d’entraînement structurée et durable, la supplémentation en collagène — notamment sous forme de peptides hydrolysés de qualité comme ceux du label Peptan — peut constituer un soutien utile pour continuer à progresser en toute sécurité.